Tuesday, March 29, 2016

R-D Collaboratory 2016-03-23

  • The budget provides new funding for the granting councils, who have seen their budgets decline over the past few years. On top of the combined $46 million they were previously receiving, Budget 2016 provides an additional $95 million/year, with the CIHR and NSERC each receiving $30m and SSHRC receiving $16m (the leftover $19 is for indirect costs). As 
  • Alex Usher pointed out in his helpful analysis, these commitments aren’t being tied to specific initiatives or applied research, which is a deviation from previous years. However, the budget states that the Minister of Science will conduct a review to, among other things, “examine the rationale for current targeting of granting councils’ funding.”
  • $2 billion over three years for  a Post-Secondary Institutions Strategic Investment Fund, “a time-limited initiative that will support up to 50 per cent of the eligible costs of infrastructure projects at post-secondary institutions and affiliated research and commercialization organizations.” The budget lists the establishment of accelerators and incubators as examples.
  • $800 million over four years to support innovation networks and clusters designed to increase collaboration and promote innovation.
  • $19 million for indirect costs borne by postsecondary institutions undertaking federally sponsored research.
  • $73 million over four years for co-op placements between employers and work-integrated learning opportunities, through the Post-Secondary Industry Partnership and Cooperative Placement Initiative.
    • Word is that this is going to be through tax-credits to businesses.
    • They specify that “further development of support for co-op placements will be integrated in the Government’s commitment to advance an Innovation Agenda.”
  • And that commitment to develop an Innovation Agenda is key. Plans for the Innovation Agenda are outlined in chapter two of the budget. Some of the investments listed above can be thought of as “down payments” while an innovation strategy is being developed.
  • Broader analyses, here are some links:

Saturday, March 26, 2016

Parcours innovation PME Montréal

Parcours innovation PME Montréal:

EXPLORER POUR INNOVER

Les petites et moyennes entreprises montréalaises en quête de solutions innovantes peuvent maintenant profiter d'une nouvelle initiative : le Parcours Innovation PME Montréal. Voyez comment ici.

Monday, March 21, 2016

Thursday, March 17, 2016

Les étudiants tiennent à trouver un emploi dans leur domaine pendant leurs études | Affaires Universitaires

Les étudiants tiennent à trouver un emploi dans leur domaine pendant leurs études | Affaires Universitaires : http://www.affairesuniversitaires.ca/opinion/a-mon-avis/selon-un-sondage-les-etudiants-tiennent-a-trouver-un-emploi-dans-leur-domaine-pendant-leurs-etudes/?utm_source=Affaires+universitaires+-+Bulletin+Coup+d%E2%80%99%C5%93il&utm_campaign=4ebb5271be-Bulletin_17_mars_2016&utm_medium=email&utm_term=0_3acf7cc134-4ebb5271be-425333685

Make me a match | Corporate Knights

Make me a match | Corporate Knights:



How one non-profit is pairing up industry and academia in a bid to boost innovation in Canada.



Carbon Engineering’s pilot plant in Squamish, British Columbia, sucks carbon dioxide out of the atmosphere. But that’s only the first step. The company will soon begin work on how to combine the captured greenhouse gas with hydrogen to create synthetic gasoline.
It’s a big idea that has attracted significant investments from Bill Gates and other high-profile backers. To bolster its research capacity, the Calgary-based startup turned to Mitacs, a national non-profit organization that builds bridges between industry and academia.

Tuesday, March 15, 2016

Salon sur les MPA : Projets d'amélioration recherchés!

Salon sur les MPA : Projets d'amélioration recherchés!:



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Should All Research Papers Be Free? - Slashdot

Should All Research Papers Be Free? - Slashdot:



An anonymous reader points us to an article at The New York Times:There's a battle raging over whether all academic research papers should be made free to all. These academic papers are typically locked behind paywalls, and only those who have access to the university network and pay a premium subscription fee get to read these papers. "Realistically only scientists at really big, well-funded universities in the developed world have full access to published research," said Michael Eisen, a professor of genetics, genomics and development at the University of California, Berkeley, and a longtime champion of open access. "The current system slows science by slowing communication of work, slows it by limiting the number of people who can access information and quashes the ability to do the kind of data analysis" that is possible when articles aren't "sitting on various siloed databases."

Canada needs more PhDs | University Affairs

Canada needs more PhDs | University Affairs:



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Thursday, March 10, 2016

programmes / Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif (PIEC) - MESI

programmes / Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif (PIEC) - MESI: "Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif (PIEC)"



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R-D Collaboratory 2016-03-10

Canada » SDTC commits $12.75 mln to venture-backed General Fusion

Canada » SDTC commits $12.75 mln to venture-backed General Fusion:



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Tuesday, March 8, 2016

Augmenter-la-productivite-ne-sera-pas-facile-selon-un-expert

http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201603/04/01-4957330-augmenter-la-productivite-ne-sera-pas-facile-selon-un-expert.php

(OTTAWA) Le gouvernement libéral fédéral espère résoudre une énigme économique qui intrigue les gouvernements précédents depuis des décennies : comment augmenter la productivité au Canada.

Les plus récentes données de Statistique Canada sur la productivité au travail, publiées vendredi, rappellent qu'elle a retraité de 0,2% en 2015 - de loin son plus faible résultat en trois ans.

Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué à plusieurs reprises qu'il voulait s'attaquer à la productivité du pays; il a même confié à un nouveau comité consultatif la tâche de trouver des solutions.

M. Morneau soutient qu'une hausse de la productivité permettrait aux Canadiens de continuer de profiter de la meilleure qualité de vie qui soit malgré le vieillissement de la population. Son budget du 22 mars devrait d'ailleurs prévoir certaines mesures pour améliorer la productivité au pays.

La croissance de la productivité constitue depuis longtemps une énigme pour les gouvernements en place à Ottawa, quelle que soit leur couleur. Des notes internes préparées pour le prédécesseur de M. Morneau aux Finances, Joe Oliver, indiquaient que la croissance de la productivité au Canada entre 2000 et 2013 se situait derrière celle de tous ses partenaires du G7, exception faite de l'Italie.

Pour le quatrième trimestre, la productivité du travail dans les entreprises canadiennes a légèrement progressé de 0,1%, alors qu'elle avait affiché une hausse de 0,4% au troisième trimestre. Au quatrième trimestre, la production des entreprises ainsi que les heures travaillées sont demeurées pratiquement au même niveau qu'au trimestre précédent.

L'économiste en chef de la BMO, Doug Porter, affirme qu'il ne sera pas facile d'améliorer la productivité dans un pays qui affiche en moyenne 1,1% de croissance annuelle depuis 1981 et qui traîne toujours derrière les États-Unis. Il croit que les efforts des gouvernements fédéraux en ce sens ont tous été infructueux - par exemple : l'adhésion du Canada aux traités de libre-échange avec les États-Unis puis le Mexique, ou une baisse des impôts des particuliers et des entreprises.

« Je souhaite la meilleure des chances au nouveau gouvernement, mais je serais franchement très étonné de les voir réussir à faire bouger les choses à ce chapitre », a confié l'économiste.

Des experts mettent cependant en garde contre la tentation de comparer les taux canadiens et américains. D'abord, précise M. Porter, les secteurs industriels des deux pays sont très différents, et les entreprises américaines sont beaucoup plus importantes. Le Canada doit aussi composer avec des températures plus rigoureuses et des distances plus grandes entre les villes, ce qui augmente les coûts de production.

Pedro Antunes, économiste en chef au Conference Board du Canada, soutient par ailleurs qu'il est très difficile d'évaluer les effets des différentes politiques gouvernementales sur la productivité. La situation aurait peut-être été bien pire encore en l'absence de ces politiques, comme la baisse des impôts, suggère M. Antunes.

Saturday, March 5, 2016

Innovation au Québec : comme une roue qui tourne dans le vide

Ref : https://voir.ca/yvan-dutil/2016/03/02/innovation-au-quebec-comme-une-roue-qui-tourne-dans-le-vide/

Innovation au Québec : comme une roue qui tourne dans le vide
Yvan Dutil 2 mars 2016

Enlisé dans la neige
Tempête de neige sur Québec, ce matin. Les chutes de neige abondante et les vents forts ont enseveli la ville. Avant même de penser emprunter la route, il faut d’abord passer une demi-heure à déneiger l’entrée de la cour jusqu’au milieu de la rue afin de sortir la voiture. Évidemment, le seul endroit où il est possible d’envoyer la neige est contre le vent. De sorte que la moitié de ce que l’on déplace nous revient à la figure presque immédiatement, telle une version nordique du mythe de Sisyphe.

Après avoir réussi au prix d’un intense effort physique à sortir la voiture de la cour, on finit par atteindre les petites rues presque impraticables. Là, tout l’art de la conduite repose sur le contrôle de l’accélérateur. Impossible d’accélérer, car le freinage est virtuellement inexistant; impossible de ralentir, car c’est l’enlisement garanti. Voilà une belle image allégorique pour discuter de l’innovation au Québec.

L’innovation est une espèce de mantra que les leaders politiques et économiques ne cessent de répéter, visiblement sans vraiment en comprendre la signification. Pourtant, bien que l’innovation soit au cœur du discours public depuis plus d’une génération, en pratique, elle ne progresse pas bien au contraire. En effet, les dépenses en recherche et développement diminuent au Canada depuis l’an 2000 et depuis 2007 au Québec. Ainsi, le taux est passé de 1,7 % en 2006 à 1,3 % en 2013.

Il faut dire que la structure industrielle n’aide pas. Le secteur primaire ne faisant pratiquement pas de R et D, l’essentiel de la R et D se concentre dans quelques entreprises très innovantes. La première en lice est Bombardier, dont la division aéronautique produit a elle seule près du quart de la R et D québécoise. Pis encore, quasiment toute la recherche au Canada est produite par les universités ou en collaboration avec les universités, de sorte qu’il ne se fait presque plus rien en entreprises.

Il faut savoir que cette collaboration est fortement encouragée par de généreux programmes de subventions de toute sorte. De plus, entre vous en moi, quand pour un coût inférieur au salaire d’un concierge, vous avez accès aux talents d’un brillant étudiant, à la littérature scientifique et à de l’excellent équipement de laboratoire, vous seriez stupide de vous en priver.

Le problème est que ce système, bien qu’il soit très avantageux pour les entreprises, a pour conséquence perverse qu’il n’existe pratiquement pas de débouchés en dehors du système universitaire pour les diplômés des études supérieures, sauf chez les entreprises qui ont contribué directement à leur formation. Un de mes contacts d’affaires a décrit cette situation comme une voiture équipée d’un V12 turbo, mais avec une carrosserie de Lada. Il y a un potentiel énorme de disponible, mais il est inutilisable pour des raisons structurelles.

Ce qui est inquiétant, c’est que les finances des universités québécoises sont précaires. Déjà sous financées par rapport aux autres universités canadiennes, les luttes étudiantes du printemps érable ont eu pour effet d’exacerber la situation. En effet, les associations étudiantes se sont attaquées aux directions universitaires, ce qui a donné une image d’incompétence à ces dernières. Cette image dégradée a permis au gouvernement de couper un peu plus dans un système qui n’a aucune marge de manœuvre sans quasiment aucun risque politique. Le seul moteur d’innovation du Québec se trouve donc au bord de l’asphyxie.

Mais, tout cela n’est que le symptôme d’un problème plus fondamental. En effet, l’innovation c’est d’abord et avant tout une question d’une culture de la créativité et de la prise de risque. Une culture qui est marginale au Québec.

Entre les grandes entreprises qui évoluent à la vitesse de la dérive de continent et les petites entreprises familiales pour qui l’austérité est une vertu, il n’y a guère de place à l’innovation. Et, il ne faut pas plus compter sur les gouvernements, chez lesquels la vertu cardinale est l’obédience à l’autorité.

En matière de gestion, on peut choisir de maximiser les profits ou de réduire les dépenses. La première approche demande de concevoir des produits à plus grande valeur ajoutée et de maximiser la chaine de valeur, alors que la seconde travaille que sur la réduction de coût et souvent de façon très simpliste.

Or, la seconde philosophie est largement dominante au Québec. De plus, on exige des résultats à très court terme de sorte que tout ce qui ressemble à un investissement tend à être repoussé aux calendes grecques. Parfois, cela tombe carrément dans l’absurde.

Dans le domaine de l’efficacité énergétique, la norme est d’exiger des temps de retour sur l’investissement de moins d’un an! Si votre projet a un temps de retour de 18 mois, c’est bien trop long pour l’industrie. J’ai même eu vent d’une situation où un projet avec un temps de retour de six mois a été refusé parce qu’il n’y avait pas de subvention à la clé! Et là, on parle d’isolant et d’autres technologies basiques. On est loin des robots industriels et des mégadonnées.

Un collaborateur m’a expliqué que beaucoup de patrons préfèrent gaspiller des millions en énergie et inefficacité de production par manque d’investissement, parce que tout ce qu’ils connaissent c’est de faire baisser les prix et les salaires, ce qui donne des résultats garantis à court terme. La même culture d’évitement du risque les amène à refuser l’adoption d’une technologie à moins que les compétiteurs l’aient déjà fait avec succès.

Parabole des talents, 
Andrey Mironov (2013)
Or, innover c’est se planter souvent de façon contrôlée. Le problème est que le québécois moyen est l’émule du troisième serviteur dans la parabole des talents (Mathieu 25:14-30, Luc 19:12-27), ce qui enterre la fortune qu’on lui a confiée de peur de la perdre plutôt que de tenter de la faire fructifier.

Innover, c’est à peu de chose près, comme démarrer une nouvelle entreprise. Dans le domaine du capital de risque, il existe la règle du 4,3,2,1. Dans des entreprises en démarrage, 4 sont des pertes totales, 3 ne font pas vraiment de rendement, mais ne perdent pas grand-chose. 2 font un rendement en % et une remporte 10 à 100 fois la mise. Cette règle correspond à peu près à ma théorie personnelle basée sur le théorème de Shannon qui veut que de façon optimale 35 % de recherches échouent. Pis encore, l’innovation prend du temps. Des années peuvent s’écouler entre un concept et un produit commercial, ce qui est psychologiquement inacceptable pour bien des gestionnaires.

Je doute que les politiques gouvernementales présentes et futures, qui consistent toujours à subventionner à outrance la R et D, puissent changer quoi que ce soit à cette culture du résultat immédiat et facile. Je crains donc que le Québec soit condamné à s’embourber à la moindre difficulté économique. Entre temps, ceux qui comme moi croient à l’innovation partagent un sentiment de faire du surplace, tout en ramant comme des fous. Qui sait, peut-être qu’un jour la démographie jouera en notre faveur? L’espoir fait vivre.

P.S. Oracles de l’internet. Parmi les pages suggérées par Google à partir du titre de ce billet, il y en a une sur le moteur-roue et une sur une machine qui fournit de l’énergie libre, deux mythes technologiques. Le message n’est que trop évident.

Friday, March 4, 2016

concordia-executive-gets-235000-in-severance-after-90-days-on-the-job

http://montrealgazette.com/news/local-news/concordia-executive-gets-235000-in-severance-after-90-days-on-the-job

Wednesday, March 2, 2016

R-D Collaboratory 2016-03-02