New Office PC Build Jan 28, 2016 - YouTube:
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Monday, February 29, 2016
EPIC $350 Productivity PC Build 2016 - YouTube
EPIC $350 Productivity PC Build 2016 - YouTube:
Published on Dec 31, 2015
The ULTIMATE productivity build for 2016. This $350 dollar build, whilst capable for games such as League if Legends, Minecraft and CS:GO is aimed more towards to productivity tasks such as base photo editing in Photoshop, creation of PowerPoint presentations, Excel Spreadsheets and Documents in Microsoft Word. It’s also great for surfing the web, and don’t worry you tab whores, this build’s got ya covered! This build for $350 will do all you need for basic productivity tasks, and beat out a comparable in price office PC! And once you’ve grabbed a copy of your preferred Windows operating system for a discounted price at http://g2a.com/r/geekawhat you’re all underway to get going!
The brand new Skylake Intel Core i3 6100 is a Dual Core non overclockable 3.7GHz CPU that supports Intel’s brand new Skylake architecture and DDR4 memory.
For DDR4 memory I chose a single 8GB dimm of DDR4 8GB memory. Clocked at DDR4 2400MHz (2.4GHz) the nice fast RAM ensures maximum performance, in eve the least demanding of applications.
The Gigabyte GA-H110M-A Micro ATX motherboard features Intel’s new LGA1151 socket design, supporting the new skylake chips, and of course the latest standard DDR4 memory. The on board PCI-E slots allow upgrade of a graphics card (GPU) such as the GTX 950 or GTX 960 from Nvidia or the R7 360 or R7 370 from AMD - which would make this an extremely capable gaming PC at 1080p for GTA V, Star Wars Battlefront and the Witcher 3. The on board Intel graphics on the Intel Core i3 6100 suffice however for productivity tasks and are capable of outputting at full HD.
For nice fast and reliable storage the Western Digital Caviar Black 1TB hard drive not only combines speed and reliability but also value. Cheaper than an SSD and Hard Drive this WD Black drive combines the 2 and gives plenty of capacity at OVER 1000GB!
All housed inside the very sleek and professional looking Fractal Design Core 1100 with both USB 2.0 and 3.0 for good legacy support and the latest, fastest USB transfer speeds along with power, rest and front panel audio.
To finish it all off, the power supply ensures your system stays fully juiced up with clean and reliable power the EVGA 430W 80+ power supply. The 80+ certification guarantees over 80+ efficiency at 25, 50 and 100% load scenarios and not only saves you money at the wall but also increases the lifetime and longevity of your system!
Overall this is a very capable build for $250 and is even suited towards a bit of light gaming, such as Minecraft, but also provides the upgrade path to turn into a BEAT $350 GAMING PC BUILD!
Saturday, February 27, 2016
Maison modulaire residentiel chalet bungalow modele 756-C
http://www.goscobec.com/fr/modeles/maison-modulaire-residentiel-chalet-bungalow-modele_756-C
Friday, February 26, 2016
R-D Collaboratory 2016-02-25
· With support from the European Union, The Government of Catalonia has released what is essentially a textbook on how to become an innovative company. From organizational structure to strategic planning, the document covers a lot of ground that may be of interest to those of you who work with innovative SMEs on a regular basis.
· You’re probably thinking, “Yeah, but what we really need is some sort of a textbook on how to become an innovative country.” Well, the U of T’s Impact Centre didn’t write a book like that, but they DID write a report that looks at how Canadian attitudes towards innovation measure up against those of our American neighbours. Their findings are a little depressing, but the good news is that among young Canadians, we’re actually pretty competitive.
· We conduct evaluations and monitor program outcomes. One of the big challenges is that with time, it gets harder to keep track of people as they move and change careers. So it’s mind-boggling that Harvard has managed to conduct a 75-year (ongoing) study on the factors that contribute to happiness. It turns out that the answer is NOT money and fame.
· Are universities equipping young grads with the range of skills they need to be successful in their careers? Working with the OECD, the Higher Education Quality Control Council of Ontario is launching a project to measure literacy, numeracy, and problem-solving skills among undergrads both when they enroll and after they graduate. This will allow them to determine how successful our universities are in providing students with “soft-skills.”
Thursday, February 25, 2016
Wednesday, February 24, 2016
Tuesday, February 23, 2016
Campus mixtes: une approche novatrice aux nombreux avantages
http://m.ledevoir.com/#article-463237
20 février
INRS
Campus mixtes: une approche novatrice aux nombreux avantages
Thierry Haroun, Le Devoir
« En fait, ce qui existe déjà au Québec, au Canada ou même à l’international, ce sont des collaborations entre chercheurs. Une approche qui a toujours été privilégiée et encouragée, je pense, par les universités. Ce que je propose — et c’est ce qui est différent —, c’est une approche institutionnelle des collaborations entre les universités », fait-il valoir. Daniel Coderre précise du même souffle qu’on laisse souvent entendre que les universités se font concurrence, sauf que… « L’idée que j’émets, c’est que la véritable compétition se fait au mérite auprès des organismes subventionnaires sur le plan de la qualité des projets et la qualité des chercheurs. Elle est là la compétition au fond. »
Daniel Coderre juge que les universités ne devraient pas se concurrencer entre elles, mais qu’elles devraient plutôt mettre en place des mécanismes qui devraient non seulement favoriser la collaboration entre chercheurs, mais qui devraient aussi optimiser les investissements publics à l’échelle des infrastructures technologiques de pointe, notamment. Par exemple ? « Eh bien, par exemple à l’INRS nous avons à notre centre Énergie Matériaux Télécommunications le laser le plus puissant au monde. Donc, la question qui se pose est la suivante : est-il nécessaire de répéter cet investissement dans d’autres universités ? Ainsi, pourquoi ne mettrions-nous pas en place un mécanisme qui permettrait de partager de plus grandes infrastructures ? Pourquoi ne pas les rendre accessibles aux industries qui ne pourraient jamais se payer des investissements de cet ordre-là ? »
Que des plateformes technologiques et autres infrastructures soient « ouvertes », cela se fait déjà dans certaines universités, admet-il. Mais son approche fait un pas de plus. « Ce que je propose, c’est de réunir physiquement, soit dans un même lieu, ces chercheurs, ces infrastructures pour favoriser la collaboration entre chercheurs, entre étudiants avec des antennes industrielles qui sont intéressés par une thématique en particulier. » L’idée n’est pas, dit-il, « de faire d’immenses campus qui réuniraient toutes les universités, dans tous les domaines. Mais bien de faire ce que nous, l’INRS, avec l’École polytechnique et l’Université de Montréal, sommes en train de créer, soit un centre physique pour les chercheurs, entre autres, avec de grandes plateformes technologiques et ouvertes à l’industrie du domaine des nouveaux matériaux ». Nous y sommes.
L’Institut des nouveaux matériaux
Ainsi, l’Institut des nouveaux matériaux, qui prendra place sur le site Outremont de l’Université de Montréal (soit entre les stations de métro Acadie et Outremont), comprendra plusieurs infrastructures, dont un pavillon pour chaque université, un centre en innovation et une aire de développement. Dans son ensemble, le projet engendrera des investissements de plus de 700 millions de dollars. On y retrouvera une centaine de chercheurs, plus de 500 étudiants de cycles supérieurs et 25 chaires de recherche.
En ce qui concerne l’INRS, son nouveau pavillon Énergie Matériaux Télécommunications, qui sera d’une superficie de 24 000 mètres carrés, accueillera entre autres une infrastructure de nanostructures et de femtoscience, un laboratoire en analyse et amélioration des signaux multimédias/multimodaux, un laboratoire en caractérisation des matériaux et un autre touchant la production d’impulsions laser énergétiques et isolées dans le régime des attosecondes. On y retrouvera par ailleurs une chambre anéchoïde, un système de correction de front d’onde pour laser de puissance et une unité de recherche de pointe pour les couches minces épitaxiales et les nanostructures de matériaux fonctionnels, pour ne nommer que ceux-là. Ce pavillon va entraîner des investissements de l’ordre de 150 millions de dollars, dont 120 millions pour la construction du bâtiment et la relocalisation des équipes de recherche, et 30 millions pour l’équipement scientifique de pointe. Si tout va comme prévu, l’inauguration du site aura lieu en 2019, indique Daniel Coderre.
« C’est un peu une révolution que l’on propose dans le monde de la science, dit-il. En fait, on est contraints de le faire parce que la science n’est plus celle qui se faisait sous une cloche de verre où un chercheur s’isolait pendant toute sa carrière et, éventuellement, faisait des découvertes. Nous sommes désormais dans un mode obligatoire de collaborations. Et ça, les chercheurs en conviennent. » Et au-delà de cette approche qui vise l’optimisation des savoirs scientifiques et des collaborations, voire des partenariats, ajoute-t-il, l’autre avantage de ces partages a ceci de bien qu’elle « optimise l’utilisation des fonds publics en cela qu’on ne dédouble pas, ne triple pas ou ne quadruple pas des investissements », pour une même infrastructure technologique.
Le grand ouf… des scientifiques
On le sait, sous les conservateurs de Stephen Harper, les chercheurs étaient muselés et la publication de leurs articles prenait les allures d’un chemin de croix. Le seul fait de pouvoir accorder une entrevue à un journaliste tenait du fait d’armes. Depuis l’arrivée du gouvernement Trudeau, les chercheurs respirent beaucoup mieux. C’est vrai, non ? « Absolument, c’est comme un vent de fraîcheur, d’espoir », confirme Daniel Coderre. D’autant plus, dit-il, que Justin Trudeau a démontré depuis qu’il est au pouvoir l’importance qu’il accorde à la science au sein de sa gouvernance. « Écoutez, je siège au sein du conseil d’administration d’Université Canada. Et nous avons eu la visite spontanée de Justin Trudeau une ou deux semaines après son élection pour nous dire à quel point la science est importante pour son gouvernement. »
20 février
INRS
Campus mixtes: une approche novatrice aux nombreux avantages
Thierry Haroun, Le Devoir
« En fait, ce qui existe déjà au Québec, au Canada ou même à l’international, ce sont des collaborations entre chercheurs. Une approche qui a toujours été privilégiée et encouragée, je pense, par les universités. Ce que je propose — et c’est ce qui est différent —, c’est une approche institutionnelle des collaborations entre les universités », fait-il valoir. Daniel Coderre précise du même souffle qu’on laisse souvent entendre que les universités se font concurrence, sauf que… « L’idée que j’émets, c’est que la véritable compétition se fait au mérite auprès des organismes subventionnaires sur le plan de la qualité des projets et la qualité des chercheurs. Elle est là la compétition au fond. »
Daniel Coderre juge que les universités ne devraient pas se concurrencer entre elles, mais qu’elles devraient plutôt mettre en place des mécanismes qui devraient non seulement favoriser la collaboration entre chercheurs, mais qui devraient aussi optimiser les investissements publics à l’échelle des infrastructures technologiques de pointe, notamment. Par exemple ? « Eh bien, par exemple à l’INRS nous avons à notre centre Énergie Matériaux Télécommunications le laser le plus puissant au monde. Donc, la question qui se pose est la suivante : est-il nécessaire de répéter cet investissement dans d’autres universités ? Ainsi, pourquoi ne mettrions-nous pas en place un mécanisme qui permettrait de partager de plus grandes infrastructures ? Pourquoi ne pas les rendre accessibles aux industries qui ne pourraient jamais se payer des investissements de cet ordre-là ? »
Que des plateformes technologiques et autres infrastructures soient « ouvertes », cela se fait déjà dans certaines universités, admet-il. Mais son approche fait un pas de plus. « Ce que je propose, c’est de réunir physiquement, soit dans un même lieu, ces chercheurs, ces infrastructures pour favoriser la collaboration entre chercheurs, entre étudiants avec des antennes industrielles qui sont intéressés par une thématique en particulier. » L’idée n’est pas, dit-il, « de faire d’immenses campus qui réuniraient toutes les universités, dans tous les domaines. Mais bien de faire ce que nous, l’INRS, avec l’École polytechnique et l’Université de Montréal, sommes en train de créer, soit un centre physique pour les chercheurs, entre autres, avec de grandes plateformes technologiques et ouvertes à l’industrie du domaine des nouveaux matériaux ». Nous y sommes.
L’Institut des nouveaux matériaux
Ainsi, l’Institut des nouveaux matériaux, qui prendra place sur le site Outremont de l’Université de Montréal (soit entre les stations de métro Acadie et Outremont), comprendra plusieurs infrastructures, dont un pavillon pour chaque université, un centre en innovation et une aire de développement. Dans son ensemble, le projet engendrera des investissements de plus de 700 millions de dollars. On y retrouvera une centaine de chercheurs, plus de 500 étudiants de cycles supérieurs et 25 chaires de recherche.
En ce qui concerne l’INRS, son nouveau pavillon Énergie Matériaux Télécommunications, qui sera d’une superficie de 24 000 mètres carrés, accueillera entre autres une infrastructure de nanostructures et de femtoscience, un laboratoire en analyse et amélioration des signaux multimédias/multimodaux, un laboratoire en caractérisation des matériaux et un autre touchant la production d’impulsions laser énergétiques et isolées dans le régime des attosecondes. On y retrouvera par ailleurs une chambre anéchoïde, un système de correction de front d’onde pour laser de puissance et une unité de recherche de pointe pour les couches minces épitaxiales et les nanostructures de matériaux fonctionnels, pour ne nommer que ceux-là. Ce pavillon va entraîner des investissements de l’ordre de 150 millions de dollars, dont 120 millions pour la construction du bâtiment et la relocalisation des équipes de recherche, et 30 millions pour l’équipement scientifique de pointe. Si tout va comme prévu, l’inauguration du site aura lieu en 2019, indique Daniel Coderre.
« C’est un peu une révolution que l’on propose dans le monde de la science, dit-il. En fait, on est contraints de le faire parce que la science n’est plus celle qui se faisait sous une cloche de verre où un chercheur s’isolait pendant toute sa carrière et, éventuellement, faisait des découvertes. Nous sommes désormais dans un mode obligatoire de collaborations. Et ça, les chercheurs en conviennent. » Et au-delà de cette approche qui vise l’optimisation des savoirs scientifiques et des collaborations, voire des partenariats, ajoute-t-il, l’autre avantage de ces partages a ceci de bien qu’elle « optimise l’utilisation des fonds publics en cela qu’on ne dédouble pas, ne triple pas ou ne quadruple pas des investissements », pour une même infrastructure technologique.
Le grand ouf… des scientifiques
On le sait, sous les conservateurs de Stephen Harper, les chercheurs étaient muselés et la publication de leurs articles prenait les allures d’un chemin de croix. Le seul fait de pouvoir accorder une entrevue à un journaliste tenait du fait d’armes. Depuis l’arrivée du gouvernement Trudeau, les chercheurs respirent beaucoup mieux. C’est vrai, non ? « Absolument, c’est comme un vent de fraîcheur, d’espoir », confirme Daniel Coderre. D’autant plus, dit-il, que Justin Trudeau a démontré depuis qu’il est au pouvoir l’importance qu’il accorde à la science au sein de sa gouvernance. « Écoutez, je siège au sein du conseil d’administration d’Université Canada. Et nous avons eu la visite spontanée de Justin Trudeau une ou deux semaines après son élection pour nous dire à quel point la science est importante pour son gouvernement. »
Monday, February 22, 2016
Sunday, February 21, 2016
“The Chaos” by Gerard Nolst Trenité - A poem on English pronunciation
“The Chaos” by Gerard Nolst Trenité, written nearly 100 years ago in 1922, designed to demonstrate the irregularity of English spelling and pronunciation.
If you can pronounce correctly every word in this poem, you will be speaking English better than 90% of the native English speakers in the world | The Poke:
http://www.thepoke.co.uk/2016/02/17/english-pronunciation-poem/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=english-pronunciation-poem
If you can pronounce correctly every word in this poem, you will be speaking English better than 90% of the native English speakers in the world | The Poke:
http://www.thepoke.co.uk/2016/02/17/english-pronunciation-poem/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=english-pronunciation-poem
R-D Collaboratory 2016-02-17
Looking at entrepreneurship and Canada’s start-up environment.
We all
know that the Canadian economy is facing some challenges, and so figuring out
strategies to grow our most innovative businesses makes sense. So how do we do
that? Do Business Accelerators and Incubators produce meaningful results? The
federal and Ontario governments commissioned a study to evaluate Canada’s
start-up ecosystem and identify strategies for supporting entrepreneurs and
growing start-ups. Check out a summary here,
or download the full (five-part) report here.
Among the
findings of that research is that there is room
for improved collaboration among Canada’s many accelerators, incubators, and
hubs. They also suggested that an increased emphasis on internationalization
could help start-up companies grow. It’s fitting, then, that a new joint
initiative called Canada House will create a collaborative
workspace for Canadian startups in Silicon Valley.
While
fostering international connections is a great idea, a low-value loonie and the
state of the economy may arouse fears of ‘brain-drain,’ where entrepreneurs
pack-up and leave, taking potential jobs and tax revenue with them. But at
least one entrepreneur thinks that Canada
remains a great place to start a business. He highlights a number of
strengths, ranging from outstanding access to top talent, to the fact that
we’re so gosh-darn polite.
An
important, but often overlooked issue in the entrepreneurship world is the
underrepresentation of women. Yes, it’s 2016, but men continue to seriously
outnumber women in the world of entrepreneurship and venture-capital backed
startups. So what’s the deal? In a podcast, American management professor Ethan
Mollick discusses his research, which looks at how
women and other disadvantaged groups can overcome barriers to success.
The effectiveness of R&D subsidies: A meta-regression analysis of the evaluation literature : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048733316000032
The effectiveness of R&D subsidies: A meta-regression analysis of the evaluation literature : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048733316000032
Refs
http://www.macleans.ca/society/feds-explore-strategies-to-help-startups-become-billion-dollar-firms/
http://deepcentre.com/billiondollarfirms/do-accelerators-and-incubators-make-a-difference
http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/small-business/startups/canadian-tech-boosters-join-forces-in-silicon-valley/article28375202/
http://business.financialpost.com/entrepreneur/why-this-serial-entrepreneur-doesnt-believe-you-have-to-leave-canada-to-succeed?__lsa=cf9d-ac75
http://knowledge.wharton.upenn.edu/article/why-are-there-more-male-entrepreneurs-than-female-ones/
Saturday, February 20, 2016
Monday, February 15, 2016
LaPresse - PAS D’INNOVATION SANS UNIVERSITÉS - par GUY BRETON, UdeM
OPINION
PAS D’INNOVATION SANS UNIVERSITÉS
GUY BRETON, RECTEUR DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
Sous le titre « S.O.S. savoir », Paul Journet plaidait la semaine dernière pour une relance de l’économie québécoise qui passerait essentiellement par l’innovation et l’éducation. « Éduquer et innover. Voilà les deux verbes qui devraient guider Québec », écrivait avec aplomb l’éditorialiste de La Presse. Sa voix s’ajoute à plusieurs autres qui se sont prononcées ces dernières semaines pour une stratégie de développement économique axée sur le savoir.
Nos universités ont un rôle central à jouer dans ce développement, non seulement en éducation – c’est l’évidence –, mais aussi en recherche et en innovation. Le fait est peu connu, y compris des universitaires eux-mêmes : les universités réalisent 40 % de toute la recherche et développement qui se fait au Canada comme au Québec. Elles forment le deuxième pôle en importance dans ce domaine hautement stratégique, tout juste derrière les entreprises commerciales.
Et c’est sans compter le rôle indirect qu’elles jouent en diplômant chaque année des milliers de jeunes, dont certains deviendront entrepreneurs ou iront mettre leurs compétences au service de laboratoires des secteurs public ou privé. Toutes les études le confirment : le potentiel d’innovation d’une société est directement proportionnel au niveau de scolarisation de sa population. Et sur ce plan, le Québec a grandement progressé au cours des dernières décennies : 32 % des 25-34 ans sont aujourd’hui titulaires d’un diplôme universitaire, contre à peine 5 % au début des années 60 !
UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES
La recherche et l’innovation ne sont pas partout dans le monde inscrites dans la mission des universités. Mais c’est un trait distinctif du modèle universitaire nord-américain : nos établissements sont pleinement intégrés au processus de l’innovation sous toutes ses formes – technologique, scientifique, sociale, culturelle et économique – et constituent autant de lieux de formation à la recherche.
Dans les grandes universités du Canada et des États-Unis, plus du quart des étudiants sont inscrits à la maîtrise et au doctorat ; le travail professoral se partage entre l’enseignement et la recherche ; et les études, même les plus théoriques, peuvent déboucher sur des solutions innovantes aux problèmes qu’affrontent nos sociétés modernes.
Certains critiquent ce modèle, sous prétexte que les étudiants de premier cycle font les frais d’un déséquilibre favorisant des activités de recherche. Je pense au contraire qu’il s’agit d’une richesse pour nos étudiants et d’un atout pour notre société. L’éducation et l’innovation, l’enseignement et la recherche, la transmission et l’invention sont les deux facettes d’une seule et même réalité, celle de l’avancement de notre monde par le savoir. Les pays où la recherche est complètement disjointe de l’enseignement supérieur, comme la France, doivent aujourd’hui repenser leur stratégie d’innovation.
MONTRÉAL, REINE DE LA RECHERCHE
De toutes les villes canadiennes, Montréal est peut-être la mieux placée pour négocier le virage vers le transfert technologique et scientifique et l’innovation sociale. Avec ses quatre universités, dont deux dans le 1 % des meilleurs établissements au monde, la métropole est depuis quelques années considérées comme la reine de la recherche, devant Toronto. Les établissements montréalais injectent près de 1,5 milliard de dollars par année dans la recherche de pointe et appliquée.
Voilà pourquoi, en dépit de sa productivité très moyenne, Montréal fait mieux que la plupart des grandes villes nord-américaines quand on regarde la part de sa main-d’œuvre dans les secteurs d’avenir.
Des champs d’activité multidisciplinaires comme le big data, l’intelligence artificielle, la bio-informatique, la science des nouveaux matériaux, la réalité virtuelle, le secteur biomédical ou encore les sciences de l’environnement constituent autant de filières de demain où Montréal est déjà en position de force.
C’est de bon augure pour le développement économique de la région métropolitaine. Après des années de croissance dopée par l’exploitation du pétrole et des matières premières, le Canada subit le contrecoup d’une baisse généralisée de la demande mondiale. Dans ce contexte déprimé, on redécouvre les vertus de l’économie immatérielle du savoir. Et Montréal, la deuxième ville universitaire en importance d’Amérique du Nord, offre une pépinière de talents sans égale et des pôles d’innovation qui ne demandent qu’à grandir.
Le premier ministre Philippe Couillard l’a bien compris et a très clairement laissé entendre ces derniers temps que l’avenir du Québec ne passera pas par les énergies fossiles. L’exploitation des ressources naturelles, bien entendu, sera toujours un facteur important de croissance dans un pays qui repose sur d’immenses bassins de matières premières. Mais il est clair que c’est par une autre forme de prospection – la prospection de la connaissance – que se bâtira le Québec de demain.
PAS D’INNOVATION SANS UNIVERSITÉS
GUY BRETON, RECTEUR DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
Sous le titre « S.O.S. savoir », Paul Journet plaidait la semaine dernière pour une relance de l’économie québécoise qui passerait essentiellement par l’innovation et l’éducation. « Éduquer et innover. Voilà les deux verbes qui devraient guider Québec », écrivait avec aplomb l’éditorialiste de La Presse. Sa voix s’ajoute à plusieurs autres qui se sont prononcées ces dernières semaines pour une stratégie de développement économique axée sur le savoir.
Nos universités ont un rôle central à jouer dans ce développement, non seulement en éducation – c’est l’évidence –, mais aussi en recherche et en innovation. Le fait est peu connu, y compris des universitaires eux-mêmes : les universités réalisent 40 % de toute la recherche et développement qui se fait au Canada comme au Québec. Elles forment le deuxième pôle en importance dans ce domaine hautement stratégique, tout juste derrière les entreprises commerciales.
Et c’est sans compter le rôle indirect qu’elles jouent en diplômant chaque année des milliers de jeunes, dont certains deviendront entrepreneurs ou iront mettre leurs compétences au service de laboratoires des secteurs public ou privé. Toutes les études le confirment : le potentiel d’innovation d’une société est directement proportionnel au niveau de scolarisation de sa population. Et sur ce plan, le Québec a grandement progressé au cours des dernières décennies : 32 % des 25-34 ans sont aujourd’hui titulaires d’un diplôme universitaire, contre à peine 5 % au début des années 60 !
UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES
La recherche et l’innovation ne sont pas partout dans le monde inscrites dans la mission des universités. Mais c’est un trait distinctif du modèle universitaire nord-américain : nos établissements sont pleinement intégrés au processus de l’innovation sous toutes ses formes – technologique, scientifique, sociale, culturelle et économique – et constituent autant de lieux de formation à la recherche.
Dans les grandes universités du Canada et des États-Unis, plus du quart des étudiants sont inscrits à la maîtrise et au doctorat ; le travail professoral se partage entre l’enseignement et la recherche ; et les études, même les plus théoriques, peuvent déboucher sur des solutions innovantes aux problèmes qu’affrontent nos sociétés modernes.
Certains critiquent ce modèle, sous prétexte que les étudiants de premier cycle font les frais d’un déséquilibre favorisant des activités de recherche. Je pense au contraire qu’il s’agit d’une richesse pour nos étudiants et d’un atout pour notre société. L’éducation et l’innovation, l’enseignement et la recherche, la transmission et l’invention sont les deux facettes d’une seule et même réalité, celle de l’avancement de notre monde par le savoir. Les pays où la recherche est complètement disjointe de l’enseignement supérieur, comme la France, doivent aujourd’hui repenser leur stratégie d’innovation.
MONTRÉAL, REINE DE LA RECHERCHE
De toutes les villes canadiennes, Montréal est peut-être la mieux placée pour négocier le virage vers le transfert technologique et scientifique et l’innovation sociale. Avec ses quatre universités, dont deux dans le 1 % des meilleurs établissements au monde, la métropole est depuis quelques années considérées comme la reine de la recherche, devant Toronto. Les établissements montréalais injectent près de 1,5 milliard de dollars par année dans la recherche de pointe et appliquée.
Voilà pourquoi, en dépit de sa productivité très moyenne, Montréal fait mieux que la plupart des grandes villes nord-américaines quand on regarde la part de sa main-d’œuvre dans les secteurs d’avenir.
Des champs d’activité multidisciplinaires comme le big data, l’intelligence artificielle, la bio-informatique, la science des nouveaux matériaux, la réalité virtuelle, le secteur biomédical ou encore les sciences de l’environnement constituent autant de filières de demain où Montréal est déjà en position de force.
C’est de bon augure pour le développement économique de la région métropolitaine. Après des années de croissance dopée par l’exploitation du pétrole et des matières premières, le Canada subit le contrecoup d’une baisse généralisée de la demande mondiale. Dans ce contexte déprimé, on redécouvre les vertus de l’économie immatérielle du savoir. Et Montréal, la deuxième ville universitaire en importance d’Amérique du Nord, offre une pépinière de talents sans égale et des pôles d’innovation qui ne demandent qu’à grandir.
Le premier ministre Philippe Couillard l’a bien compris et a très clairement laissé entendre ces derniers temps que l’avenir du Québec ne passera pas par les énergies fossiles. L’exploitation des ressources naturelles, bien entendu, sera toujours un facteur important de croissance dans un pays qui repose sur d’immenses bassins de matières premières. Mais il est clair que c’est par une autre forme de prospection – la prospection de la connaissance – que se bâtira le Québec de demain.
Profite en ? | Question orthographe VOLTAIRE
Profite en ? | Question orthographe VOLTAIRE: "Impératif suivi de EN"
Impératif suivi de EN
Pour les verbes du premier groupe, lorsque le verbe est immédiatement suivi du pronom EN, on met un S à la deuxième personne du singulier pour des raison d’euphonie, sans oublier de mettre un trait d’union entre le verbe et en.
Ainsi on dira : "profite bien de tes vacances" ou "profites-en bien".
Si en n’est pas un pronom mais une préposition, le verbe qui la précède ne prend pas de s.
- "Travaille en silence !"
Il en va de même avec le pronom y.
- "Pense à préparer tes affaires avant de partir. Penses-y dès maintenant."
Remarques :
Bien que le verbe cueillir soit du troisième groupe, il se termine à l’impératif par un e muet. On écrira:
- "Ces fruits sont mûrs, cueilles-en."
On écrit aussi:
- "Presse toi, vas-y tout de suite."
- "Je ne veux plus te voir, va-t’en."
- "Tu as beaucoup de travail à faire aujourd’hui, mets-t’y tout de suite."
Le-quebec-perd-de-laltitude
En ce sens, les plus petits joueurs sont vulnérables, car souvent leurs seuls clients sont Bombardier, Bell Helicopter et Pratt & Whitney», analyse Mehran Ebrahimi, directeur du groupe de recherche en management des entreprises de l’aéronautique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
http://www.journaldemontreal.com/2016/02/11/le-quebec-perd-de-laltitude
Saturday, February 13, 2016
CCMM - Emplois du futur
Chambre de commerce du Montréal métropolitain added 54 new photos to the album: Forum stratégique sur les compétences du futur - 12 février 2016.
Québec doit adopter une stratégie au plus vite, plaide Montréal International
Québec doit adopter une stratégie au plus vite, plaide Montréal International
Montréal International croit que le Québec a tout ce qu’il faut pour devenir une des capitales mondiales du big data, ce secteur en croissance que certains décrivent comme le pétrole de la révolution numérique. Mais pour ce faire, les gouvernements fédéral et provincial doivent adopter au plus vite des stratégies en la matière, plaide l’organisme.
Thursday, February 11, 2016
FAIRE DU QUÉBEC LE CHAMPION DES MÉGADONNÉES
Les nouvelles du jour - La Presse+: "FAIRE DU QUÉBEC LE CHAMPION DES MÉGADONNÉES"
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Les nouvelles du jour - La Presse+ :
http://plus.lapresse.ca/screens/be3018de-a878-42c0-9df4-8a36a0946a6f%7CSNCTmbUfhfTM.html
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PVI,
très à propos pour nous!
ACTUALITÉS - FAIRE DU QUÉBEC LE CHAMPION DES MÉGADONNÉEStrès à propos pour nous!
Les nouvelles du jour - La Presse+ :
http://plus.lapresse.ca/screens/be3018de-a878-42c0-9df4-8a36a0946a6f%7CSNCTmbUfhfTM.html
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JEAN-FRANÇOIS CODÈRELA PRESSE
Les mégadonnées (big data) pourraient devenir le prochain créneau d’excellence du Québec à l’échelle mondiale si le gouvernement se dotait d’une stratégie à cet effet, ont fait valoir hier Montréal International et Québec International.
Les comparaisons avec le secteur des jeux vidéo étaient nombreuses dans la présentation des deux organismes de promotion économique.
« Il y a 15 ans, le Québec n’était pas dans le monde du jeu vidéo et aujourd’hui, nous sommes devenus le deuxième ou troisième pôle au monde », a rappelé le président-directeur général de Montréal International, Hubert Bolduc.
Ce sont de généreux crédits d’impôt qui ont permis au Québec de faire sa place dans le monde du jeu vidéo. Selon M. Bolduc et son homologue Carl Viel, de Québec International, il ne serait probablement pas nécessaire d’être aussi généreux dans ce cas. Alors qu’il partait de rien dans le monde du jeu vidéo, le Québec jouit déjà de certains arguments de poids dans l’univers des mégadonnées.
L’électricité abondante, renouvelable et peu dispendieuse favorise l’implantation de centres de données, tout comme le climat frais. Des centres de recherche universitaires, à Montréal et Québec, attirent l’attention internationale dans le domaine. Des entreprises d’ici commencent à y tirer leur épingle du jeu. Et comme dans maints autres secteurs, la forte concentration universitaire montréalaise est toujours perçue comme un atout.
« On a la fondation, mais on veut emmener cette fondation à un autre niveau. »
— Carl Viel, PDG de Québec International
La création d’un document établissant le profil du secteur des mégadonnées au Québec, aussi dévoilé hier, est un pas, selon M. Viel.
« On se dote d’un outil supplémentaire d’attraction. »
« Tout ce qu’il manque, c’est une stratégie, indiquait pour sa part M. Bolduc. Et le fait que la nouvelle ministre de l’Économie (NDLR : Dominique Anglade) porte aussi le titre de responsable de la stratégie numérique tout en étant, quel hasard, l’ancienne présidente de Montréal International, nous porte à croire que cette stratégie viendra. »
Est-ce que « stratégie » équivaut à « programme de crédits d’impôt » ? M. Bolduc n’est pas aussi catégorique, même si « ça pourrait être intéressant », juge-t-il. « Parfois, pour attirer une entreprise, la différence est un petit coup de main supplémentaire. »
PERSONNEL QUALIFIÉ
Selon François Laviolette, directeur du Centre de recherche en données massives de l’Université Laval, il faut aussi s’attarder à la formation de personnel qualifié.
« Il va éventuellement en manquer cruellement, sans compter qu’on en perd déjà qui vont chez Google ou autres. On a la capacité de collecter de plus en plus de données, il va falloir de plus en plus de gens capables de faire quelque chose avec. »
Le secteur des mégadonnées, où l’essentiel du travail consiste à automatiser l’analyse de vastes volumes de données, n’est pas forcément le plus créateur d’emplois, conviennent les deux hommes, même si ce sont des emplois bien rémunérés.
Il y a aussi un potentiel transversal, fait valoir M. Viel. Tous les secteurs économiques peuvent bénéficier de l’expertise développée dans les mégadonnées.
« Un hôtel peut se rendre compte que l’essentiel de ses clients vient du Vermont et adapter son marketing, donne-t-il sommairement en exemple. « L’ensemble des entreprises de l’ensemble des secteurs peuvent créer des emplois. »
Wednesday, February 10, 2016
R-D Collaboratory 2016-02-10
For
industry, higher education, government and the economy in general, disruptive
change is prompting some important discussions on how traditional paradigms
need to adapt.
It’s an interesting and challenging time to study policy,
because it’s so hard to predict what the world will look like in a decade from
now, if not a few months from now.
Here are a few links that help demonstrate
this:
- A video about how driverless cars are going to change our cities.
- An article about the ways that online learning and digital technology are changing the ways we learn.
- A wonderful animation/lecture on why and how public education is being reformed to fit the needs of the 21st century.
--
- A UOttawa professor lays out some recommendations on how Ottawa can ensure that science and evidence effectively translate to good policymaking.
- The OECD released a wealth of data on R&D spending around the globe.
Tuesday, February 9, 2016
Sunday, February 7, 2016
Programmes et calendrier des subventions | Recherche et innovation - polymtl
Programmes et calendrier des subventions | Recherche et innovation:
http://www.polymtl.ca/recherche/pour-les-chercheurs/subventions-et-contrats/programmes-et-calendrier-des-subventions
http://www.polymtl.ca/recherche/pour-les-chercheurs/subventions-et-contrats/programmes-et-calendrier-des-subventions
Saturday, February 6, 2016
Friday, February 5, 2016
R-D Collaboratory 2016-02-05
- The Public Policy Forum hosted a pre-budget consultation, and Ryerson University’s Wendy Cukier (VPR) wrote a summary of her experience as a panelist. Much of the discussion focused on themes relating to Canadian innovation.
- The Conference Board of Canada published a briefing on what Canada stands to learn about higher-education from Switzerland, which was recently ranked as having the world’s most competitive economy.
- The CD Howe Institute published research on the pressures facing Canada’s labour market, with recommendations on how to spur economic growth.
- A new campaign of the Council of Ontario Universities highlights Indigenous success stories at Ontario universities, and provides resource kits to encourage First Nations and Métis youth who are considering post-secondary education.
- If you’re struggling to keep your productivity levels up, this video describes a new strategy for accomplishing tasks. It’s called “single-tasking.” It’s the new multi-tasking.
Thursday, February 4, 2016
Tuesday, February 2, 2016
EYC Internship Program now accepting applications - FundingReport Media Platform
EYC Internship Program now accepting applications - FundingReport Media Platform:
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EYC Internship Program now accepting applications
If your business has recently hired an intern or is planning to do so, you could be eligible for the EYC Internship Program.
Quick Facts.
- The EYC Internship Program gives eligible employers that work in science, technology, engineering, or mathematics, up to 50% of an intern’s salary for a full-time environmental job.
- Applicant organizations can receive up to $15k in free wage-subsidies to encourage the hiring of new graduates and young professionals.
- All intern start dates must be in 2016.
- Funding under this Program is provided by Environment Canada.
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Monday, February 1, 2016
A selection of Terry O'Reilly - 'Age of persuasion' and 'Under the influence'?
Terry
O'Reilly - 'Age of persuasion' and 'Under the influence'?
- Elevator pitches, today's episode of Under the Influence, you can find it here: http://www.cbc.ca/undertheinfluence/season-3/2014/04/05/elevator-pitches-1/
- Tales of customer service, Under the Influence: http://www.cbc.ca/undertheinfluence/season-3/2014/03/28/tales-of-customer-service-2/
- Burn the Boats, Age of Persuasion: http://www.cbc.ca/ageofpersuasion/episode/2011/03/12/season-five-burn-the-boats-brands-that-risked-and-won/
- Sun Tzu and the Art of Persuasion: http://www.cbc.ca/ageofpersuasion/episode/2009/07/29/season-3-sun-tzu-and-the-art-of-persuasion/
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